Nos programmes de distorsions concernent notre identité virtuelle. Ils nous envahissent de beaucoup de discours pour nous maintenir dans une dépendance et une quête incessante pour obtenir de l’énergie. Nous avons appris à utiliser les auto-suggestions suivantes : « demandez et vous recevrez », «remerciez comme si vous l’aviez déjà», « visualisez votre intention », « efforcez-vous de réussir votre rêve », « faites des affirmations avec conviction », «accédez à votre indépendance financière », etc.
N’importe quel type d’énergie obtenue ainsi nous rend à chaque fois un peu plus esclaves de ces programmes ! En mobilisant de l’énergie sans véritable propos, c’est à dire sans la conscience de notre présence et de notre rôle, nous la bougeons juste pour survivre sous l’influence des distorsions , des interférences des 4 marqueurs qui composent notre ADN «primitive», c’est-à-dire, nous la bougeons pour la bouger, mais nous restons toujours dans les mêmes conditionnements, avec une polarisation fluctuant entre le « bien » et le « mal», notre schéma de conception primaire, notre mode linéaire de fonctionnement sur le passé/futur.
Le champ quantique est uniquement mobilisé par les observateurs du passé, à partir d’un plan en divergence ( rien de mal à cela) et par le mental concret linéaire . C’est une centrale nucléaire en production de dettes sans fin, une bombe à retardement dans notre vie, en marge d’une existence bien plus « vaste ». De plus, cette énergie en dette est employée pour expérimenter continuellement, sans jamais nous arrêter dans le point O, le « non temps » pour pouvoir profiter de l’énergie du retour. Nous nous épuisons, nous renonçons, nous pensons qu’il s’agit là d’une fatalité ! En restant dépendant de l’énergie, sous la structure logique de la nécessité ( de la survie, programme primaire de l’amibe), il est impossible de se connecter avec la logique du véritable propriétaire du champ quantique , l’Originel, le Vide , unique instance à travers laquelle le propos ( le but ) précède l’énergie, le propos informant l’énergie. La réponse précède la question. Autrement dit, la solution est là mais nous ne la voyons pas. Parce que nous n’avons pas compris pourquoi nous sommes sur cette planète. Nous ne faisons que vivre au lieu d’exister !
En nous identifiant à l’énergie et aux expériences du virtuel, en se référant continuellement au passé ou en nous projetant en permanence dans un futur illusoire, nous finissons par mendier l’énergie du champ pour nourrir ces distorsions.
Nous créons ainsi des futurs exploratoires pour davantage d’expériences en distorsions, lesquelles vont être intégralement exprimées de façon factice par une identité virtuelle se croyant Être, mais ce n’est qu’une identité d'intermédiaire qui a pris un pouvoir qui la dépasse. Nous ne nous en rendons pas compte, sinon à travers les traumas, les souffrances, les douleurs , les émotions (tant positives que négatives ), les schémas de répétitions, ces conditionnements dont nous ne savons pas d’où ils venaient auparavant, avant d’avoir compris la mécanique du système qui nous compose en interne.
En retirant notre identité du plan des programmes, en nous référençant dans l’Originel, la logique avec propos commence à agir. Toute l’énergie nous arrive alors avec un sens Originel en accord avec une route spécifique, celle du Retour ; Les points d’énergie, qui s’activent alors, sont de nature à nous faire vivre la reconnaissance intime de l’Être que nous sommes, ils ont été renouvelés , réactualisés. Le futur avec propos n’est pas un temps au-delà du maintenant, ni en avant dans un lieu aux circonstances « meilleures » que celles que je vis dans mon présent. Le futur avec propos est du Présent Convergent, un présent où je m’ autorise à ÊTRE, où je décide d’observer en me « désidentifiant», avec une pleine acceptation de toutes les distorsions que ma réalité me montre. Dans un instant, nous avons réuni toute l’histoire de l’humanité. Dans un seul instant tout est confondu. Notre réalité est une succession d’instants. Mais nous sommes habitués en permanence à courir après des résultats, des objectifs de pacotille pour satisfaire une identité virtuelle, un intermédiaire, lequel a sa raison d’être, mais qui trône comme « un Dieu, un maitre , un gourou » nous imposant des distorsions, des programmes, des interférences, des conditionnements… Si bien que nous sommes en permanence en dehors du « moment présent », cet instant, le seul endroit nous permettant une connexion réelle et vraie avec notre être originel.
Quand « Je Suis », le temps n’existe pas, ou plutôt je permets l’ équation suivante : temps linéaire + non temps = une profondeur d’existence.
Si nous achetons de l’énergie aux observateurs du passé de notre intermédiaire virtuel, nous bradons notre auto-référence au meilleur offrant, contractant ainsi une dette avec les dits observateurs, tout en continuant à croire être ce que le discours à la mode nous injecte dans notre identité factice. Quand notre identité est dans l’abstrait, c’est l’Être Originel qui informe notre récepteur dans l’espace-temps. Plus aucun observateur intermédiaire ne gère l’énergie que nous recevons. Le flux pour la circulation de cette énergie avec propos (9) s’ établit à travers des circuits déjà « torsionnés » (par l’observation-acceptation de la condition, de la charge dans notre réalité), à savoir, qu’il y a un chenal direct pour l’énergie entre l’Originel et nous Être existants dans notre instant , dans notre réalité. Ce chenal ne s’active pas par la volonté ni par l’effort, mais par une prise de conscience jamais enseignée dans les écoles. F P gracealalogique@gmail.com https://gracealalogique.wixsite.com/bestconvergence
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